Monsieur le ministre, quand entendrez-vous que les professionnels de ce secteur souhaitent des prix rémunérateurs, une harmonisation des règlements européens et, surtout, une régularisation des marchés ?
Dernièrement, vous avez déclaré, dans le Pas-de-Calais : « L’agriculture est un chef-d’œuvre en péril et qu’il faut tout faire pour lui redonner un élan, car c’est une activité stratégique ».
Belle formule, qui ne demande qu’à être suivie d’effet et des décisions politiques qui s’imposent.