Pour ce faire, nous devons avancer dans trois directions.
Premièrement, nous devons mieux organiser la filière pour qu’elle puisse mieux se battre sur les marchés à l’exportation.
Le Languedoc compte quatre organisations interprofessionnelles viticoles, contre une ou deux dans chacun des grands pays du nouveau monde qui exportent des milliers d’hectolitres à destination de l’Europe. Il est urgent que le Languedoc n’ait plus qu’une seule organisation interprofessionnelle viticole !