Pour conclure, monsieur le ministre, je me réjouis qu'un certain nombre de responsables de notre pays prennent la mesure de la gravité de la crise que traverse notre nation. C'est la raison pour laquelle je souscris pleinement à votre volonté, par ce projet de loi, de porter tous remèdes utiles à un aspect préoccupant de cette situation qu'en deux minutes j'ai essayé de suggérer. Je vous en félicite et, à la petite place qui est la mienne, j'y contribuerai en m'associant à tout ce qui permettra d'affiner le texte...