Mais les accoucheurs et les pédiatres sont formels : les bébés qui se sont formés dans le ventre d'une mère qui boit n'atteignent pas le poids requis pour leur santé et souffrent souvent de troubles neurologiques.
C'est à eux que nous devons penser. C'est notre responsabilité de parlementaires que de faire passer l'humain avant l'économique et la santé avant le marché. Faute de quoi, nous ne serions pas au service de l'intérêt général.
L'aide aux filières et aux territoires viticoles ne passe pas par la peur du « dire vrai » sur certaines incompatibilités comme l'alcool et la grossesse.
C'est donc au nom du principe de précaution que nous voterons cet amendement.