Je donne acte à M. Vasselle de sa déclaration, mais je ne voudrais pas qu'il y ait un malentendu.
Tout à l'heure, j'ai ouvert la séance parce que le rapporteur et Mme la secrétaire d'Etat étaient présents. Bien entendu, dès que M. About a expliqué la situation et demandé une suspension de séance, j'ai parfaitement compris qu'il était impossible de poursuivre nos travaux en séance publique tant que la commission des affaires sociales était en réunion.
Croyez bien que la commission des affaires sociales bénéficie de ma part, comme de celle de l'ensemble du bureau du Sénat, d'une très grande considération, et je tiens à vous rassurer, monsieur Vasselle : aucune commission n'a le pas sur telle autre. Il n'y a pas de mauvaise action de la part d'un membre de la commission des finances à l'endroit de la commission des affaires sociales.