La commission tient d'emblée à préciser un point : cet amendement ne traduit pas une méfiance à l'égard des associations.
Il vise simplement à clarifier le rôle de chacun : si la personne handicapée peut évidemment faire appel à une association pour l'assister dans ses démarches, cette association ne saurait, en aucun cas, se prononcer en lieu et place de la personne handicapée, de ses parents ou de son représentant légal sur le choix d'orientation proposé par la commission : elle peut conseiller, mais non se substituer.
Par conséquent, le représentant associatif ne saurait être mis sur le même plan que le représentant légal.