Nous l’avons dit depuis une semaine, ce qui caractérise ce projet de loi, c’est son injustice.
Voyez-vous, monsieur le ministre, vous n’avez jamais répondu à une question très simple.
Dans le financement de la réforme que vous proposez, 90 % sont portés par les revenus des salariés et 10 % par les revenus du capital, de la rente ou de la spéculation. Est-ce juste ?