J’en termine, madame la présidente.
Monsieur le ministre, voilà quelques jours, vous avez répondu à Pierre Mauroy, qui évoquait cette grande réforme que fut l’adoption de la retraite à 60 ans, qu’il était un homme du passé. Devant la réforme que vous nous proposez et les dégâts que vous êtes en train de faire, je vous dis, reprenant ainsi les mots de François Mitterrand, que vous, vous êtes des « hommes du passif ».