Je souhaite réagir à l'emploi du mot « hypocrisie » par Mme Férat.
Madame la sénatrice, lorsqu'on tient publiquement des propos, ceux-ci ne peuvent en aucun cas être qualifiés d'hypocrites, car ils engagent leur auteur pour la suite.
Je vous rappelle que nous sommes en première lecture. Ce texte va donc être soumis à l'Assemblée nationale, puis il reviendra de nouveau devant le Sénat. Je tiendrai alors naturellement les mêmes propos sur la question de l'établissement des listes, en particulier en ce qui concerne les cours d'eau qui figurent sur les listes actuelles. Mon intention n'était nullement de vous tromper, madame la sénatrice.