Monsieur le président de la commission des finances, j'ai deviné à travers vos propos vos autres réflexions, mais, disons-le, point trop n'en faut pour 2004. Avec cette disposition, nous avons considérablement progressé en matière d'attractivité de notre territoire. Je crois qu'il sera temps, en d'autres circonstances, de poursuivre nos réflexions.
Permettez-moi de vous dire que, ne serait-ce que pour les dépenses désormais gagées, telles que la prime de Noël et cette disposition, auxquelles M. le rapporteur général est, je le sais, très attaché, le présent collectif budgétaire valait la peine. C'est un grand plaisir de voir la Haute Assemblée se prononcer comme elle l'a fait.