Chacun aura compris que l'amendement de mon groupe avait pour objet d'apaiser l'inquiétude que l'on peut ressentir, comme l'a très bien exposé M. le rapporteur général, quant à la situation des entreprises concernées pour la période allant du 4 mars 2004 à aujourd'hui.
Monsieur le ministre, vous parliez de la conviction de Gilles Carrez. Nous connaissons sa grande pugnacité, mais si, après votre expertise, vous estimez que cette situation est réglée, il n'y a pas de raison de ne pas vous faire confiance.
Je ne vois dès lors pas pourquoi nous maintiendrions notre amendement, que nous retirons donc.