Cet amendement nous a déjà été soumis lors de la discussion de la seconde partie du projet de loi de finances pour 2005. La commission y avait été défavorable, rappelant que le coefficient de revalorisation de 1, 8 %, c'est-à-dire le rythme de l'inflation, lui semblait suffisant.
Dès lors, nous sommes amenés à réitérer un avis très défavorable.