Un tel argument pouvait peut-être passer voilà vingt ans, mais il n’est plus crédible aujourd’hui, car les sportifs connaissent très bien les produits en question, peut-être mieux que nous. Nous devons d’ailleurs redoubler de vigilance, car ils s’entourent d’experts et de scientifiques, qu’ils ont les moyens de payer et qu’ils nous présentent comme leurs conseillers particuliers !
À l’heure actuelle, il y a beaucoup d’argent dans le sport et je suis navré de constater que ce dernier est livré aux intérêts économiques. Nous y sommes peut-être collectivement pour quelque chose. En tout cas, nous devons réagir et, je le répète, c’est un combat que nous devons mener tous ensemble.
Monsieur le président de la commission des affaires culturelles, monsieur le rapporteur, mesdames, messieurs les sénateurs, encore merci de votre travail !