Je vais essayer de me souvenir que, pendant dix ans, je fus à l’Assemblée nationale le président de la commission des affaires économiques, et que – M. Patriat le sait – nous y avons aussi, pendant des années, abordé les problèmes des entreprises.
Je voudrais commencer par quelques remarques sur la politique économique et fiscale du Gouvernement.
Les questions posées par M. Marc sont légitimes.