Intervention de André Ferrand

Réunion du 7 décembre 2004 à 21h30
Loi de finances pour 2005 — I. - enseignement scolaire

Photo de André FerrandAndré Ferrand :

Monsieur le ministre, je suis heureux de vous en donner acte : tous les représentants des Français de l'étranger savent que la réinsertion des quelque huit cents élèves français rentrés de Côte d'Ivoire en France s'est faite dans des conditions aussi bonnes que possible. Cela a été une opération remarquablement menée.

Pour le reste, monsieur le ministre, c'est bien entendu le ministère des affaires étrangères qui assure la tutelle et le financement de l'Agence pour l'enseignement français à l'étranger, et mon propos n'était pas de vous demander de l'argent. D'ailleurs, je ne l'ai pas fait !

En revanche, j'ai soulevé quelques points très précis, et je vous serais très reconnaissant de demander à vos services de les explorer, parce que vos réponses, que j'ai beaucoup appréciées sur un plan général, et vos encouragements, en particulier, qui ne m'ont pas déçu, me laissent quelque peu sur ma faim, surtout lorsqu'il s'agit de l'Europe où, véritablement, la Commission nous attend. Elle nous a proposé un marché et nous ne réagissons pas. Sur ce point, ce n'est pas le Quai d'Orsay qui est concerné, c'est bien le ministère de l'éducation nationale !

La taxe d'apprentissage dépend également du ministère de l'éducation nationale ; un courrier a été envoyé à cet égard.

J'aimerais si possible avoir des réponses un peu plus précises...

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