Monsieur le sénateur, votre question me permet de rappeler les deux principes qui guident la politique immobilière de l’État.
Premièrement, le Gouvernement a la volonté d’inscrire les cessions immobilières de l’État dans une logique plus vaste de maîtrise de nos finances publiques et donc de céder, au cours des trois prochaines années, une partie de ce patrimoine, soit, comme je l’ai annoncé il y a quelques semaines, 1 700 sites, une opération qui devrait constituer un gisement d’économie.
Deuxièmement, la méthode retenue est d’une transparence absolue.