Monsieur le sénateur, si le Président de la République, à la suite de son prédécesseur, Jacques Chirac, a porté cette demande d’une baisse du taux de TVA applicable au secteur de la restauration avec une telle détermination auprès de Bruxelles, c’est pour satisfaire à une exigence d’équité, à savoir mettre fin à une distorsion de concurrence entre, d’un côté, les fast-foods, qui bénéficiaient d’un taux de TVA à 5, 5 %…