Tout à fait, car cela me permet de mettre l’accent sur une confusion entre, d’un côté, le fait démographique et, de l’autre côté, le fait économique.
Ce n’est pas parce qu’un territoire a de nombreux habitants qu’il a davantage d’attractivité économique, mais, à l’inverse, quand un territoire a une grande attractivité économique, il a aussi en général une grande vitalité démographique, et c’est encore plus vrai s’agissant de la création de richesses.
Une fois cela admis, on voit bien que la question n’est pas de savoir s’il faut fixer le seuil à 400 000, 450 000, 500 000 ou 700 000 habitants.