C’est une excellente question, monsieur Chevènement ! Ce courage, nous le savons l’un et l’autre, nous ne l’avons toujours eu dans le passé, même si nous avons fait de bonnes réformes.
Aujourd'hui, force est de constater que la répartition de la DGF entre les différentes structures n’est pas optimale.
Monsieur Guéné, vous avez donc eu raison de déposer cet amendement, qui traite en fait de la répartition des crédits. Sur le fond, tout le monde est favorable à la péréquation : vous ne trouverez personne qui s’y oppose. Mais, dans le même temps, chacun veut, l’année n, percevoir au moins le même montant de dotation que l’année n-1.
Eh bien, mes chers collègues, si, dans une période de stagnation des crédits, vous réussissez à concilier péréquation et maintien du montant des dotations, vous êtes très forts !