Monsieur le ministre, à l’aune de ces trois mots, vous pouvez comprendre quelle serait ma position si une évolution sur certains sujets majeurs, tels que l’OTAN, venait à être évoquée.
On comprend bien aussi que l’idée nouvelle d’Union pour la Méditerranée, idée forte et belle du Président de la République, ne prendra toute sa force que si elle est en mesure d’amener la paix sur l’autre rive de la Méditerranée, en Palestine, en Israël et, dès aujourd’hui, du moins le plus tôt possible, au Liban.