Certes, la diminution du nombre d’associés exploitants conduit mécaniquement à augmenter la surface par associé. Néanmoins, soumettre la réduction du nombre d’associés au contrôle des structures me paraît difficile à réaliser en pratique. En effet, cette diminution peut résulter de multiples causes, éventuellement indépendantes de la volonté des intéressés : maladie, décès, mais aussi difficultés économiques.
En outre, il serait étrange de soumettre à autorisation préalable la poursuite d’une activité agricole existante.
La commission émet donc un avis défavorable à l’encontre de ces deux amendements.