En vérité, l’opposition est face à ses responsabilités, et il lui revient d’échapper à la contradiction.
On ne peut pas, d’un côté, réclamer un meilleur équilibre des pouvoirs et, de l’autre, renoncer à cette réforme ! On ne peut pas, d’un côté, dénoncer la prétendue « hyperprésidence » et, de l’autre, repousser cette réforme qui tempère les pouvoirs de l’exécutif et renforce ceux du Parlement et des citoyens !