Face à cela, la position des autorités françaises est sans ambiguïté. Elle a été rappelée dès la semaine dernière par le Président de la République et par le Premier ministre : le prochain gouvernement palestinien devra faire le choix de la paix, ce qui signifie la reconnaissance de l'État d'Israël, la renonciation à la violence et, bien sûr, la pleine application et le plein respect des accords de paix. Le chef de l'État a même précisé que c'était la condition de la poursuite du dialogue et de la coopération avec l'Union européenne.