C'est la première fois en quinze ans qu'une telle demande est formulée. Outre qu'elle pose le problème de l'autonomie du conseil d'administration de la CNAF et de la mise en oeuvre de ses décisions, cette démarche crée une réelle incertitude quant aux règles qui seront fixées pour le renouvellement et la signature de nouvelles dépenses dans le cadre des contrats enfance, ainsi que dans celui des contrats temps libre.
Compte tenu de la nécessité de faire de nouvelles économies, la CNAF a envoyé à l'ensemble des CAF un courrier leur demandant explicitement de suspendre ou de geler toute négociation de nouveaux contrats enfance jusqu'au second semestre 2006.