Cet amendement vise à ramener de soixante-quinze ans à soixante-dix ans le seuil à partir duquel les anciens combattants bénéficient d’une demi-part supplémentaire au titre de l’impôt sur le revenu.
Dans la mesure où il s’agit d’une niche fiscale, la commission ne peut pas être favorable à cette disposition.