Ce point a fait débat à l’Assemblée nationale. Les députés qui ont étudié cette affaire de près ont considéré que le développement des sociétés de crédit-bail ou de location-vente étrangères constituait un handicap pour les bateaux français. Il leur a donc paru nécessaire d’encourager ce métier.
Leur souci est, en vérité, de favoriser la navigation de plaisance. La France est constructrice de bateaux de plaisance. Nos ports peuvent accueillir des bateaux. Nous avons tout à fait intérêt à avoir des ports remplis et des carnets de commandes bien garnis ! Il semblerait, de l’avis de députés plus spécialistes que moi de cette question, que c’est un point important. C’est la raison pour laquelle j’ai émis à l’Assemblée nationale, au nom du Gouvernement, un avis de sagesse, que je confirme ici.