Monsieur Gouteyron, vous connaissez parfaitement l’état d’esprit du corps préfectoral et n’avez aucune difficulté à imaginer que ses représentants agiront toujours avec discernement. À ce titre, ils sauront dépasser Vidal de la Blache et se référer à une conception moderne de la géographie, qui est une géographie humaine avant que d’être une géographie physique.