L’avenir des soins de proximité – médecins et professions paramédicales – est préoccupant.
Un élu d’une zone rurale ou de montagne qui considère l’âge des médecins actifs et les perspectives d’évolution ne peut qu’être très inquiet.
Certes, il n’y a jamais eu autant de médecins. Mais il faut aussi tenir compte de leur répartition. En Lozère, par exemple, le centre d’urgence de l’hôpital de Mende emploie dix-neuf médecins qui travaillent 35 heures, peut-être même moins.