Je reconnais très volontiers – et je suis sûre que Jean-Louis Borloo le ferait également – que toute simplification qui pourrait être apportée à ce dispositif serait la bienvenue pour remédier aux inconvénients mentionnés. Cette complexité caractérise d’ailleurs au moins autant le prêt à taux zéro que la fiscalité écologique dont nous discutons aujourd’hui.
En revanche, je ne peux pas laisser Mme Bricq parler de « bricolage », terme qui me paraît particulièrement malvenu. L’enjeu porte sur 400 000 logements rénovés par an et sur des montants de travaux qui se chiffrent en milliards d’euros pour les prochaines années : il s’agit donc d’activité et d’emplois !