Tant pour les raisons invoquées par la commission qu’en application du principe général qui a pour effet ce « jeu de miroirs » entre TVA et taxe sur les salaires, je vous demanderai donc, monsieur Sueur, de bien vouloir retirer votre amendement.
Pour autant, compte tenu notamment de l’allusion que vous avez faite à la disposition adoptée la semaine dernière avec l’accord du Gouvernement pour la SNCF, je vous propose de « creuser » davantage la question, dès ce soir si vous le souhaitez, avec notre cabinet – je parle du cabinet de Christine Lagarde, d’Éric Woerth et de moi-même – afin d’examiner les tenants et les aboutissants.
J’espère que, sous le bénéfice de cette proposition, vous accepterez de retirer votre amendement, car, à défaut, je serai obligée d’en demander le rejet.