Ce qui me paraît le plus important, c'est que nous prenions conscience de la complexité des sujets que nous traitons.
Au bout d'un moment, ce que nous faisons est inexplicable, et donc incontrôlable. Nous sommes alors pris dans une sorte de fatalité. Pour y remédier, il faut remettre les choses à plat et ne pas vouloir en quelques heures apporter des corrections à un schéma qui a trouvé son équilibre et dont nous ne pourrons modifier l'architecture qu'au terme d'une bonne année d'observation.
Je n'ai pas tenu de tels propos pour que vous abrégiez vos commentaires lors de la discussion sur les prochains amendements, mes chers collègues.