Je souhaite rappeler très brièvement à M. le rapporteur général que, comme j’avais pris soin de le préciser au début de mon intervention, je me suis exprimée non pas en tant que membre de la commission de la culture, mais en tant que présidente du groupe d’études « Médias et nouvelles technologies. »
Celui-ci rassemble des sénateurs de différents horizons, dont certains appartiennent à la commission de l’économie. Certains de ses membres, qui auraient pu intervenir, ne l’ont pas fait, mais le point de vue que j’ai exprimé est partagé par une grande partie d’entre eux.
Revenons donc au calme. Il s’agit pour nous non de pousser à la dépense, mais de réagir, comme il est normal, sur une question qui intéresse particulièrement notre groupe d’études.
Celui-ci poursuivra sa réflexion ; je prends l’engagement qu’il le fera en concertation avec la commission des finances.