Si, cher ami, c’est le problème ! Nous ne pouvons pas demander à la Cour des comptes de constater la conformité des dépenses si l’on accepte de fermer les yeux, par exemple, sur les salaires parfois élevés que se versent les responsables, le directeur, les deux ou trois principaux permanents d’une association. Cela créerait une inégalité incroyable avec les associations qui gèrent les dons d’une façon beaucoup plus stricte et réservent l’argent collecté en priorité aux bénéficiaires des actions caritatives.
Mes chers collègues, en tant qu’auteur de la loi « Coluche » en 1988, je suis très favorable à la démarche intellectuelle d’Adrien Gouteyron et de plusieurs de ses collègues.