Sur ce sujet, mon voeu serait que nous débattions, en citoyens majeurs que nous sommes, j'espère, en sachant bien faire ressortir les points de convergence et d'opposition entre nos grandes formations politiques, au regard du devenir de la fiscalité et des prélèvements obligatoires.
Tel est l'esprit qui conduit la commission à émettre sur cet amendement, s'il n'est pas retiré, un avis défavorable ; mais il lui paraît totalement légitime de soulever ce type de problème et de s'interroger sur le devenir de nos dégrèvements, de nos exonérations, de nos dépenses fiscales, mais aussi sociales.
En effet, tous les propos que nous tenons en matière d'impôt valent également pour les cotisations sociales : les raisonnements et les clientélismes sont les mêmes ; et les complexités sont de part et d'autre tout aussi indéfendables.