J'accepte bien volontiers les augures qui viennent de nous être présentés : tant mieux, vive la France ! Mais je crains qu'à l'issue de ce débat, après avoir entendu les arguments des uns et des autres, nous n'ayons pas levé l'ambiguïté que nous avons été deux à soulever.
Si j'ai bien compris ce qu'a dit le doyen Gélard, la possibilité de conflit demeure et, dès lors que le conflit aurait lieu, nous ne disposerions pour le trancher d'aucun dispositif à l'amiable, mais d'une menace : quitter l'Union européenne !
Je veux seulement acter l'existence de cette interprétation, puisque quelqu'un a eu l'honnêteté et l'amitié de nous dire que tout cela était affaire d'interprétation.