Chacun prendra sa responsabilité, mais je suis persuadé que, si l'issue du vote devait être positive, chacun le regretterait.
Le partisan chaleureux de l'Europe que je suis, et vous l'avez sans doute perçu dans mon intervention d'hier, estime en tout cas que contraindre ainsi le Parlement relève de l'abus de pouvoir, et c'est pourquoi il demande la suppression par scrutin public de l'article 2 !