Nous avons longuement débattu, et sur de nombreuses dispositions. La commission des affaires sociales est au travail depuis près d'un mois et siège en permanence dans cet hémicycle. Bref, nous débattons. Alors, quelle urgence y avait-il, en cette fin d'après-midi, à nous empêcher de nous prononcer sur nos amendements de suppression ? Ce matin, nous l'avons fait !
Mes chers collègues, ce n'est pas en gagnant dix minutes que l'impact sur le public des mesures désastreuses que vous voulez nous imposer va disparaître !
Nous avons pris soin, tout en les présentant rapidement, d'inscrire nos amendements dans une démarche de plus grande lisibilité du texte. Vous voulez absolument nous empêcher de nous exprimer.