Ces amendements procèdent de la même logique que celle qui a prévalu pour la rédaction de l'amendement n° 9.
L'amendement n° 56 vise à prévoir que le contrôleur général de lieux privatifs de liberté puisse saisir le Défenseur des enfants.
Quant à l'amendement n° 57, il tend à ce que le contrôleur général puisse saisir la Haute autorité de lutte contre les discriminations.