C’est également le sens du conseil interministériel pour l'outre-mer qu’il a décidé de créer de manière que tout le monde, sous sa présidence, contribue à la définition de politiques de développement économique, social et culturel et suive les décisions qui ont été prises.
En effet, si la Guadeloupe, comme les autres collectivités d'outre-mer, n’a pas souffert d’un manque d’intérêt ou de crédits – je rappelle que j’ai tout de même augmenté le budget de l'outre-mer de 17 % cette année –, elle a pâti d’un manque de suivi par certaines administrations des décisions qui ont été prises.
C’est cela qui doit changer. Si nous parvenons à amorcer ce changement, alors la crise actuelle deviendra une opportunité pour tous !