C'est bien en ayant cette double perspective à l'esprit que nous devons faire notre choix.
Dans ce contexte, l'enjeu européen ne doit pas, lors de la campagne électorale, être uniquement une figure imposée ou un mal nécessaire, voire un sujet qui risque de faire perdre des voix.
Nous, les parlementaires nationaux, devons rappeler qu'il y a une attente d'Europe en chaque Européen, en chaque Français.
C'est la raison pour laquelle la dimension européenne de cette campagne présidentielle doit être importante.
À cet égard, la polémique sur le chèque britannique, sujet à la fine pointe du débat sur le « retour net », devient proprement surréaliste. Pourtant, cela coûte cher à la France : 1, 4 milliard d'euros par an, ...