Est-ce du désintérêt ?...
Pour nous, il s'agit d'une question de principe. Vous, madame la ministre, vous parlez en termes de financements, mais vous aviez la possibilité d'en trouver d'autres, hier encore, par exemple, avec les stock-options - et dans des proportions plus importantes, puisqu'ils auraient pu atteindre 3 milliards d'euros - ou, dès le mois de juillet, en refusant les cadeaux exagérés consentis à travers la loi « TEPA » !