Aujourd'hui, nous vivons dans un monde où l'homme occupe sa place. Il faut certes conserver les espèces, mais sans aller jusqu'à inverser les priorités, comme certains ont tendance à le faire aujourd'hui.
Fixons le nombre de loups que nous pouvons supporter dans le massif alpin, le nombre d'ours que nous pouvons supporter dans le massif pyrénéen, et les choses iront beaucoup mieux ! Sinon, dans dix ans, nous aurons 200 ou 300 loups, voire davantage, dans les Alpes françaises. Avec la politique qui est aujourd'hui menée et qui consiste à prélever deux loups une année, trois la suivante, et à préserver particulièrement les femelles, on va à la catastrophe.
Je crois que la question de la biodiversité se pose aussi autrement et je n'accepte pas l'attaque dont nous faisons l'objet de la part de certains de nos collègues : au parti communiste, nous n'avons pas de leçon de ce type à recevoir !