Qui peut croire que ce qui guide le Président, c’est d’en finir avec la dictature de l’audimat et de la publicité, qui empêcherait la réalisation de programmes de qualité quand, dans le même temps, il autorise une overdose de publicité pour ses amis de la télévision privée – deuxième coupure dans les films, relèvement du plafond horaire – et qu’il leur offre les 450 millions d’euros de publicité en provenance du service public.
Et vous voulez, en plus, qu’on se taise !