Je rejoins, une nouvelle fois, la position que vient de défendre M. le rapporteur général. Sans vouloir être redondant par rapport à l'explication limpide qu'il nous a livrée, j'ai cru comprendre, monsieur Soulage, que votre amendement constituait une sorte d'appel à connaître, à comprendre, à dialoguer. Naturellement, j'y suis tout à fait favorable !
Comme vous le savez, j'ai d'ailleurs pris l'engagement de réétudier l'offre de réassurance publique en 2007, puisqu'une clause de rendez-vous est prévue.
Dès lors, je vous demande de bien vouloir retirer votre amendement, quitte à ce que nous nous retrouvions pour examiner ce dossier. Sachez que mes collaborateurs seront à votre disposition pour vous aider dans cette tâche.