La rectification apportée par Alain Milon modifie un peu le sens de l'amendement par rapport à sa première rédaction.
Il est quand même délicat, me semble-t-il, de donner à une personne qui n'est pas partie à la procédure la possibilité de déclencher une audition de l'enfant, alors que celui-ci n'en a pas pris lui-même l'initiative et que le juge ne l'a pas estimé souhaitable. Certes, l'amendement prévoit toujours que le juge doit apprécier l'opportunité de cette audition.
La commission souhaite connaître l'avis du Gouvernement et elle s'y ralliera.