Par ailleurs, je voudrais rappeler que c’est nous qui avons demandé à ces étrangers de venir s’établir sur notre sol. M. Jean-Pierre Raffarin ayant occupé les fonctions de Premier ministre, il est mieux placé que moi pour savoir que, dans les années qui viennent, en raison d’une pénurie de main-d’œuvre due non seulement à la baisse démographique, mais aussi à la désaffection pour certains types d’emplois, notre pays devra à nouveau faire appel à des travailleurs venus de l’étranger.
Mais là n’est pas le problème ! La question ne réside pas non plus dans le lien entre nationalité et droit de vote, madame le garde des sceaux.