Pour eux, nous affaiblissions l’innovation et la recherche dans les entreprises françaises.
Pour ma part, j’avais fait valoir au LEM que leurs objections relevaient d’une autre logique, la logique économique. Je les ai donc incités à s’adresser à un autre interlocuteur, en l’occurrence le ministère chargé de la recherche, ce qu’ils ont fait, et ils ont obtenu satisfaction.
À l’époque, à entendre ses représentants, j’avais le sentiment que le LEM était au bord de l’asphyxie.