Nous validons la création d’un mode de transport de grande capacité afin de désenclaver les territoires sinistrés. Nous considérons qu’il n’appartient pas à la loi de préciser la solution technique utilisée.
Le premier alinéa de l’article 2 n’est pas en cohérence avec l’article 1er. Alors que celui-ci prône la concertation et le débat public, qui doivent être au cœur de la démarche, cet alinéa traduit un refus du partenariat entre l’État et les collectivités territoriales. L’État apparaît comme ayant décidé de façon unilatérale la réalisation d’un métro automatique, en laissant aux autres acteurs, notamment au Syndicat des transports d’Île-de-France et à la région, le soin de gérer les aspects qu’il n’aura pas pris en charge.
Nous estimons donc qu’il existe une réelle incohérence entre l’article 1er et l’article 2.