... qui a ouvert, les mains nues, le chemin de la liberté et qui, ces derniers jours, avec l’appui de l’armée, a su résister aux complices, à la police et à la milice de Ben Ali.
Nous voulons dire notre respect envers les martyrs de cette liberté.
Mesdames, messieurs les ministres, un consensus se fait pour estimer que, au cours des dernières semaines, la position du Gouvernement français n’a pas été à la hauteur de la situation, et c’est un euphémisme !
Nous le savons tous, il y a eu des paroles et il y a eu des silences qui font mal, très mal ! On peut s’en rendre compte en écoutant nos très nombreux amis tunisiens, de France et de Tunisie.