Mais tournons-nous vers l’avenir.
D’abord, il ne faut plus dire qu’il y a un « risque » de contagion tunisienne ; c’est plutôt une chance ! Car la démocratie n’est pas une maladie contagieuse !
Ensuite, nous voudrions désormais entendre que nulle dictature n’est un rempart contre l’islamisme radical.